Description
Deux pièces de jeunesse écrite pour orgue.
L’histoire nous raconte que Jonathan Pontier, alors encore jeune étudiant à la Sorbonne (pour quelques mois seulement !) fut approchée par une camarade d’étude, étudiant l’orgue et ayant accès à l’Eglise de St Clodoald à Saint Cloud. Pontier s’y consacra alors corps et âme, en profitant de cette sollicitation pour se pencher sur la contrainte formelle proposée par l’instrument et les formes anciennes s’y rattachant.
Ce ne fut qu’un demi succès, la première pièce, un prélude, se transformant trop vite en rhapsodie, forme changeante beaucoup plus proche du style mouvant du jeune compositeur, alors âgé de 19 ans. Le Chorale qui suit, dans sa plenitude harmonique, se rapprochait déjà davantage de ses goûts. Le dernier mouvement, une fugue encore à l’état manuscrit, ne trouva jamais son chemin vers l’édition.
Jeune organiste, si tu trouve quelque envie à déflorer cette oeuvre de jeunesse, tu seras aidé par les divinités de Rome et d’ailleurs !
The story tells that Jonathan Pontier, then still a young scholar at Paris Sorbonne (just for a few months only !) was approached by a young fellow student who could get her hands on the instrument of St Clodoald’s church in Saint Cloud. Pontier devoted himself to the task with all faith and hardwork, pretexting this invitation to focus on the formal constraint offered by the organ and the old forms referring to it.
It was only a half-success, the first piece, a prelude, morphing itself too quickly in a rhapsody, a changing form very much more to the transformer style of the young composer, aged 19 back then. The following Chorale, in its plain harmonic figure, was then way closer to his taste. The last movement, a fugue now still a manuscript, never found its way to the edition.
Young organ player, if ye ought to uncover this youth work, ye shall be helped by the Gods of Rome and elsewhere altogether !
